Ce cahier publié en 2020 propose un texte inédit de Jean Malaquais, La légende d’Abd-el-Kader.
Sommaire
• Préambule par Geneviève Nakach
• Malaquais l’Algérien par Geneviève Nakach et Georges Millot
• Légende d’Abd-el-Kader ** Texte inédit de Malaquais publié pour la 1ère fois **
• Une lecture très personnelle de la “Légende d’Abd-el-Kader” par Guy Zaïtoun
• Esthétiser la mine – L’accident, du discours au récit par Victoria Pleuchot
Avant-propos
Durant le confinement, nous vous avons proposé un exercice : déchiffrer un manuscrit inédit de Jean Malaquais. Les pattes de mouche de notre auteur ont découragé plus d’un !
Mais pas Odile Rocher et Guy Zaïtoun qui s’y sont frottés avec ardeur. Finalement, Guy a réussi à « développer » le négatif malaquaisien. Vous lirez donc ci-après, nous espérons avec plaisir, « La légende d’Abd-El-Kader ».
Avec appétit, Guy nous a accordé la joie supplémentaire d’un commentaire à cette nouvelle, où les odeurs de nourriture orientale jouent un rôle engageant.
Il n’en fallait pas davantage pour nous donner envie d’évoquer l’importance de l’Afrique et de l’Algérie dans l’itinéraire qui transforma un certain Jan Pavel Vladimir Israël Pinkus Malacki en Jean Malaquais. Du ciel gris de Pologne à l’azur du Maghreb et de la Provence, il changea au gré des aventures et des travaux.
C’est le labeur dans les mines qui a inspiré à Victoria Pleuchot un travail de comparaison entre plusieurs ouvrages, dont Les Javanais. Elle nous montre comment journalistes et écrivains rendent compte de catastrophes réelles, comme celle de Courrières en 1906, ou romancées.
Voilà. Nous vous souhaitons bonne lecture.
Comme chaque année, ce Cahier 10 sortira à temps pour être proposé au Salon de la Revue des 9, 10 et 11 octobre, à l’Espace des Blancs-Manteaux à Paris. Au moment où j’écris ces lignes, le 13 septembre, cette manifestation est autorisée.
Nous prévoyons aussi de tenir notre assemblée générale le 19 décembre.
Croyez à mes meilleures pensées malaquaisiennes.
Geneviève Nakach